Diffamation contre la MIBA : Le service de communication de la société condamne le manque de professionnalisme du média L’intervieweur.cd [Mise au point]

Le service de communication de la société Minière de Bakwanga (MIBA) a lu avec regret les faits mensongers et nuisibles rapportés par le média en ligne L’intervieweur.cd contre l’Administrateur Directeur Général, André Kabanda Kana et son agent, Kanda Dan, dans son article publié le 07 juin 2024 et intentionnellement non signé.

Dans son article, ce média affirme que Monsieur KANDA serait licencié de la société pour fautes lourdes, mais sans les identifier. Des allégations que le service de communication de la société rejette en bloc.

«Cet article est, non seulement une opportunité pour les détracteurs de jeter du discrédit et de l’opprobre sur la personne de l’Administrateur Directeur Général, André Kabanda Kana, mais aussi et surtout une démotivation contre l’idéologie de réforme stratégique par lui apportée afin de réactiver les activités de production», précise le service de communication.

Et de rappeler : «Au mois de mars 2017, Kanda Dan avait sollicité une mise en disponibilité d’une année pour des raisons de convenance personnelle à dater du 13 mars de la même année. Malheureusement, six mois après, la Direction Générale de la MIBA lui avait demandé d’interrompre cette mise en disponibilité pour réintégrer la société en date du 6 septembre 2017. Le 3 novembre de la même année, il a été désigné comme Trieur au service Classement.»

Le service de communication de la MIBA met en garde contre toute tentative d’en vouloir au gestionnaire quotidien de la société, André Kabanda Kana, à cause du choix porté sur la personne de Kanda Dan comme Chef de Service Classement. Pour ce faire, l’ADG est l’unique qui porte à ce jour, la vision du Président de la République, Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo, de revoir cette société du portefeuille de l’Etat revêtir sa robe d’antan.

«Au sujet de Dan Kanda qu’on tente de salir au
au profit des intérêts égoïstes profitant à un groupuscule d’individus, n’a jamais écopé une sanction : ne serait-ce qu’un jour de mise à pied et ou d’une action disciplinaire ouverte à sa charge. Il n’a jamais été non plus sujet de licenciement à la MIBA. Par contre, pour avoir travaillé à la SACIM, il avait été victime de fausses interprétations dans la salle de nettoyage de diamants. Chose qui avait occasionné son retrait de l’effectif sans aucune traçabilité de vol», révèle le service de communication de la MIBA, tout en avouant que le coordinateur actuel de la SACIM, alors superviseur de traitement de la centrale de triage de l’époque, peut bien attester à quiconque.

Le service de communication de la MIBA appelle le média éditeur de cette info-hoax au professionnalisme, au respect de l’éthique et de la déontologie de la profession de journaliste en ce qui concerne la collecte, le traitement et la diffusion/publication des informations exactes.

Rédaction