Guerre à l’Est : Acteur majeur dans la sensibilisation à l’enrôlement massif au sein des FARDC, Tobie Kayumbi salue l’engagement de la jeunesse du Kasaï-Oriental

Le député national Tobie Kayumbi salue l’engagement de la jeunesse à défendre l’intégrité du territoire de la République Démocratique du Congo, particulièrement celle du Kasaï-Oriental.
L’élu de Mbujimayi a exprimé sa satisfaction ce mercredi 19 février 2025, à l’issue de la réussite de la manifestation de sensibilisation à l’adhésion massive des jeunes au sein des Forces armées de la République Démocratique du Congo (FARDC), tenue à Mbujimayi par le Vice-Premier ministre, ministre de la Défense et des Anciens Combattants, Guy Kabombo Mwadianvita.
« Je suis très content et je remercie la population des cinq territoires du Kasaï-Oriental pour avoir répondu massivement à cet appel. Les jeunes sont venus, et j’étais d’ailleurs surpris de voir que même de jeunes dames ont répondu présentes. Nous sommes satisfaits du message apporté par le Vice-Premier ministre, ministre de la Défense et des Anciens Combattants. Ce dernier a encouragé les jeunes, et cela va dans le sens de notre plaidoyer. Le VPM a promis d’améliorer les conditions de vie de ces jeunes », a-t-il déclaré.
Touché par la situation sécuritaire que traverse son pays, le député national Tobie Kayumbi s’est approprié la campagne de sensibilisation pour l’enrôlement massif des jeunes afin de renforcer l’armée congolaise, qui se bat au front contre les groupes terroristes du M23 et de l’AFC, soutenus par le Rwanda.
Lors d’un point de presse tenu le mardi 18 février dernier dans sa circonscription électorale, l’élu de Mbujimayi avait annoncé être porteur d’un plaidoyer visant à octroyer une prime de 500 dollars aux militaires congolais, surtout à ceux déployés sur le front.
Rappelons que plus de 2 000 jeunes nouvellement recrutés ont été présentés lors de cette manifestation présidée par le patron de la Défense nationale, Guy Kabombo, sur le Boulevard Laurent-Désiré Kabila.
Ces derniers seront déployés dans différents centres de formation avant d’être envoyés au front.
Jonathan Madika