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RDC : Accusé d’avoir contribué dans la faillite de la MIBA, le retour de Jean Charles Okoto installe une crise de confiance au sein de la société

 RDC : Accusé d’avoir contribué dans la faillite de la MIBA, le retour de Jean Charles Okoto installe une crise de confiance au sein de la société

Depuis l’avènement du nouveau Président du Conseil d’Administration à la tête de la société Minière de Bakwanga MIBA SA en sigle, il y a plus de craintes que de certitudes. Au Kasaï Oriental, l’opinion publique garde l’image de l’ancien PAD qui selon elle, Jean Charles Okoto Lolakombe avait participé à l’écroulement de ce poumon économique en remplissant le «sal besogne de ses commanditaires à l’époque».

En effet, une source au sein de la MIBA révèle que, Jean-Charles OKOTO était un des complices du pillage de la MIBA par l’AFDL, à l’entrée de cette force armée en 1997, au motif de l’effort de guerre.

À l’ en croire, cette situation a été à l’origine de la dégringolade de la MIBA vers la faillite actuelle.
Poursuit t-elle, l’opinion publique a du mal à digérer «la présence de cet homme à la tête de la MIBA», qui constitue un frein à la résurrection et au développement de cette firme.

«Connu pour ses multiples capacités de nuisance et dilapidation des fonds publics, il semble totalement oublié, à moins d’être de mauvaise foi manifeste, ce qu’il doit faire en tant que PCA de la société, et enfume l’écran de l’opinion publique avec des formules creuses et vides de sens. Sa spécialité actuelle, c’est le trafic d’influence. L’homme est capable d’inventer des fausses instructions sous prétexte qu’elles viennent de la présidence.», renseigne une autre source digne de foi

Par ailleurs selon toujours cette dernière, certains agents condamnent le «non-respect du Job description de ses fonctions. Il ne se gêne pas de s’ingérer dans la gestion courante de la société en contactant seul et directement les Directeurs de la MIBA sans passer par le DG comme le veulent les us et coutumes en la matière, se permettant même de les menacer s’ils ne lui obéissaient pas. Ce comportement traduit visiblement une ingérence sans limites dans la gestion quotidienne, une tâche reconnue au Directeur Général»

Et de poursuivre, «Le PCA de la MIBA impose une gestion anarchique à la Société, ce qui ne favorise pas un climat sain de travail au sein de la Société.
Or la MIBA, sous l’impulsion de son DG KABANDA KANA, est en train de se mouvoir dans un sens positif et réalise de prouesses historiques.
D’où, il y a lieu de penser à un remplacement qui se montre sauveur pour la relance effective de la MIBA, poumon économique du Grand-Kasaï»



Rédaction

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